Cyberforce Origins pour moins de 7€
Vous le savez, Cyberforce revient grâce à Kickstarter pour une nouvelle série offerte aux fans (déjà 3 numéros).
Marc Silvestri et Top Cow profitent de ce revival de la série pour proposer à nouveau les premiers épisodes de la série dans un tout nouveau TPB de 160 pages retroupant la première mini-série (The Tin Men of War) de Marc Silvestri et l’annual et le numéro #0 de Walter Simonson et David Finch.
Le tout pour moins de 7€, merci Image Comics.
A ce prix là, on ne le rate pas.
A noter que le tome 2 sort déjà en décembre !
| Imprimer l'article | Cette entrée a été posté par Thomas le 15 février 2013 à 13 h 00 min, et placée dans Actu V.O.. Vous pouvez suivre les réponses à cette entrée via RSS 2.0. Les commentaires et les pings sont fermés pour l'instant |
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about 12 years ago
Merci Thomas pour cette précieuse information… C’est dans la boîte
about 12 years ago
Je ne suis absolument pas sensible à ce type de dessins, « very 1990s » (or « 1980s » ?) et à mon sens totalement dépassés et sans feeling.
(voilà un débat bien lancé, non ?)
about 12 years ago
J’adore ce style graphique hyper expressif , hypertrophié et ultra dynamique de cette époque !! Les story board étaient travaillés et les couleurs éclatantes !! Le style »commercial »de certaines séries d’époque n’empêchaient pas Vertigo d’exister avec panache avec Sandman ou Preacher aux styles graphiques adaptés a leur scénarii…le marché papier était plus sain !
about 12 years ago
Plus sain ? Vraiment pas.
On était en pleine époque spéculative, les ventes étaient très au-dessus du nombre réel de lecteurs (oui, on achetait mais on ne lisait pas, on mettait sous plastique et dans un coffre). Les éditeurs en profitaient en multipliant les variant covers sans se soucier du contenu scénaristique. Les histoires étaient souvent réellement insipides mais mises en image par des stars qui vendaient sur leur seul nom. Top Cow avait monté son studio pour faire dessiner les recrues à la manière de Silvestri/Turner et gommer toute personnalité. Résultat, derrière quelques grosses locomotives on trouvait des copies mal fichues.
Non ce n’était vraiment pas sain…
about 12 years ago
Oui enfin à l’époque Spawn vendait 2 millions d’exemplaires avec une seule couverture (et Cyber Force #1 se vendait à 700 000 exemplaires) alors qu’aujourd’hui, Spawn a du mal à passer les 20 000 exemplaires avec une variante de Todd McFarlane, et il faut 18 Variant Cover à Uncanny Avengers pour chopper la première place du classement et approcher les 400 000 ex.
En 1992, il y avait plus de lecteurs de comics qu’aujourd’hui, c’est un fait.
about 12 years ago
Oui Thomas, mais honnêtement, au niveau scénar’ ça volait pas haut, faut l’avouer.
La mini ‘Tin men… » est pas terrible, je trouve que Cyber Force est meilleure quand démarre la On Going, tant graphiquement (les couleurs sont superbes ensuite) que « scénaristiquement », Claremont notamment n’y est pas pour rien.
about 12 years ago
C’est vrai qu’appeler Logan « James Howlett » …Faire que Spidey se démasque puis se remasque aussitôt après … Faire que la torche et colossus meurent presque …on a vraiment du bon scénar aujourd’hui ! pas comme avant ! ( Kingdom Come ou marvels et Preacher ou No man’s land) c’était nul ??
about 12 years ago
David Finch dans le numéro 0…. pas sur ?!?
about 12 years ago
Le style IMAGE a changer les comics a jamais, y’a eu un avant et l’après a tendance a revenir vers ce style ( même si le tournant avais déjà était amorcer par MacFarlane, Jim Lee, Silvestri ( etc ) pendant leurs périodes MARVEL ).
Et que dire des comics IMAGE avec leurs éditions sur beaux papiers, les jolies couleurs et les effets relief comme les bulles d’eau dans la mini série SPAWN Blood feud et les 1er N° du mensuel SPAWN qui étaient agrafer et coller, on était loin du papier journal bon marché des autres éditeurs, la qualité était au rendez-vous.
about 12 years ago
C’est vrai que les Image Boys avaient mis un sacré coup de pied au cul des comics somnolents de l’époque et ce dès New Mutants, UXM, Spiderman, ASM … et déjà aussi le Hawke & Dove de Kessel et Liefeld, petite perle…